Pour ceux qui ne l’auraient pas remarqué, la France – ou du moins son oligarchie médiatique – traverse une période d’intenses turbulences politiques. Une campagne présidentielle est en cours, paraît-il. Avec son cortège d’alliances contre nature, de sondages invérifiables, de petites phrases assassines, de promesses sans lendemain… et de slogans improbables. En 2007, l’actuel chef de l’Etat le jure : “ensemble, tout devient possible”. Et de polluer nos boîtes aux lettres avec un prospectus déclinant son programme en 15 grands axes… Cinq ans après, qu’en reste-t-il ?
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Continuons à questionner les expressions faussement positives. Lorsque l’on montre peu d’enthousiasme à accepter ce qui nous est proposé, parce que l’on attendait bien plus, on se voit souvent rétorquer : “c’est mieux que rien”. Refuser ce qui nous est avancé serait donc pire qu’une faute de goût, ou qu’une atteinte à l’honneur de notre interlocuteur : un choix contraire à la plus simple logique. Faut-il se contenter de moins que l’on espère ? Les petites évolutions sont-elles préférables aux grandes révolutions ?
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L’économie a mauvaise presse. Les représentants de la discipline sont accusés de ne jamais voir venir les crises, mais d’avoir toujours quelque chose à dire, rétrospectivement, sur les raisons du désastre. D’autant qu’ils en profitent alors pour encourager des mesures “correctives” exacerbant les problèmes. Loin d’être infondées, ces attaques contre les idiots utiles du capitalisme ne sauraient nous détourner des approches économiques les plus originales. Freakonomics explore la “face cachée” des choses.
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Comme annoncé la dernière fois, nous avons bien envie d’exercer un peu notre esprit critique au quotidien. Envie d’analyser, contester et hacker ce qui nous tombe sous la main. Et en particulier les grands principes, dogmes et conventions, toutes ces croyances limitantes qui réduisent notre liberté de pensée sans que nous n’y prenions garde. Commençons aujourd’hui avec une expression courante : “un tiens vaut mieux que deux tu l’auras”.
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… et récolte la Raison ! Prolongez l’expérience sur le site de notre partenaire sceptique, le très mystérieux Lazarus Mirages.
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Comment apprendre à penser en dehors de la boîte ? L’analyse des systèmes profite de la curiosité et de la passion des hackers, ces bidouilleurs qui peuvent user de leur créativité aussi bien pour traquer les limitations des codes que pour proposer des solutions aux problèmes abordés sous un angle trop réducteur. Sur ce blog, nous déploierons nous aussi cette approche pour renforcer notre esprit critique : lançons notre opération “hacker ouvert” !
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Le mardi 7 février 2012, Maître Lupin publie Kubrick et le canular lunaire : la renaissance du mythe. L’article a beau déchaîner les commentaires (plus de 250 réactions !), la plupart ne sont qu’une charge violente contre l’histoire officielle d’Apollo 11…
La tradition nous accorde quelques minutes encore pour vous glisser ces mots doux : bonne année 2012. Pour l’occasion, un article léger, sortant de l’ordinaire de ce blog. Pas d’inquiétude : nous ne saurions manquer l’occasion de dénoncer l’une ou l’autre (dés)illusion. Cependant, au prix du télescopage de sujets douteux, ce billet d’humeur (massacrante) devrait aussi vous dévoiler de quoi ce garnement de Loki est capable. L’avatar le plus sarcastique, lui qui n’est pas “bridé”. Attention, mauvais esprit !
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Stanley Kubrick est souvent désigné comme le véritable réalisateur du film de l’alunissage états-unien de 1969. De farouches détracteurs de l’Histoire officielle auscultent images et vidéos des missions de la NASA, en quête d’indices démontrant la supercherie. Cherchent-ils au bon endroit ? Dans un documentaire troublant, Jay Weidner propose une extension fascinante à la théorie du complot : The Shining est un message codé de Kubrick pour révéler au public son implication dans le canular lunaire.
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Où l’on s’interroge sur la capacité des sciences à faire éclore la vérité. Est-ce leur rôle ? Sont-elles censées traiter du “vrai” ? Ou servent-elles plutôt à produire des outils pour comprendre le monde et maîtriser notre environnement ? D’ailleurs, que se passerait-il “si j’avais un marteau” ?
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